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Elea's Diary
11 octobre 2013

L'hôtel de la plage

solitude sur plage copie

Je marche sur la plage, seule et sans attaches. Je regarde les couples heureux s’enlacer, rire, les enfants courir et jouer dans les vagues.

Emmaillotée dans mon chandail, je regarde la mer et la musique des vagues m’emporte ailleurs. Je suis nostalgique et rêve d’une étreinte qui me réchaufferait. Sentir cet homme derrière moi qui me prendrait dans ses bras, la tête sur mon épaule, nos regards dans la même direction, des mots doux au creux de mon oreille et des baisers dans mon cou. Des rires et ressentir cette étreinte, comme une armure tendre, une protection bienveillante, une enveloppe de bonheur, de chaleur. Sortie soudainement de ma rêverie par les cris d’une mouette s’envolant au large, je me retourne et te vois. Mais tu ne me remarques pas, tu prends des photos de cette plage et de sa lumière qui décline doucement. Je m’éloigne et me dis que j’aurai aimé que tu me remarques et lâche un instant l’objectif pour moi. Le vent se lève doucement, je rejoins l’hôtel où je séjourne pour le week-end. 

Je monte dans ma chambre, je prends une douche chaude pour me remettre de cette balade solitaire et des embruns salés qui collent à ma peau. La douceur et la chaleur de l’eau réveillent mon corps. Je ferme les yeux sous le filet d’eau, et ton image me revient. Je revois tes mains et les imagine sur moi, caressant mes seins, les malaxant, tes mains prenant mon visage et tes baisers comme des perles qui s’entrechoquent à chaque rencontre de nos lèvres. Je sors de ma rêverie, lorsque j’entends sonner à la porte. J’enfile un peignoir et un membre de l’hôtel me tend une carte.

Je l’ouvre et y découvre une invitation à dîner pour ce soir au restaurant de l’hôtel, signé « celui que vous attendez ». Intriguée et un peu inquiète, j’appelle la réception, mais personne ne veut me révéler ton identité, et m’assure que tu es un de leur fidèle client et quelqu’un de sérieux.

J’enfile une robe et un long gilet, des bas et maquille mes yeux. Je me prends au jeu et descends pour dîner.

Au restaurant, on m’installe à une table donnant sur la mer, au calme et isolée. 

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Au bout de quelques minutes, tu arrives. Mon cœur palpite à ta vue. Je te reconnais. Intimidée, mais ravie au fond de moi. Nous dînons et nos conversations s’enchaînent. Mais nos yeux se croisent sans cesse, nos mains se frôlent. Une chaleur naît entre mes cuisses. Bien que le dîner fut bon. Mon ventre réclame autre chose. Une faim que je n’avais plus sentie devient de plus en plus forte. Envie de toi, cet homme que je ne connais à peine. Mais comment le dire sans passer pour une femme facile. Je décide alors de calmer le jeu et de monter me coucher. Nous décidons de nous revoir le lendemain pour une balade.

Je monte dans ma chambre et en entrant, je découvre sur le lit, des dessous sexy.

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Une guêpière noire en dentelle, un string et des bas jarretières pour accompagner l’ensemble sont déposés délicatement sur le lit. Un mot sur un carton me dit de les passer et de t’attendre. Excitée par cette situation, je me déshabille et revêts la lingerie qui étrangement me va comme un gant. Je m’observe dans le miroir et me trouve sensuelle. On sonne à la porte et je viens t’ouvrir.

Tu es là, nos lèvres se rencontrent pour ne plus se quitter.

Je t’adosse à la porte et commence à déboutonner chaque bouton de ta chemise frénétiquement, j’embrasse chaque morceau de ton torse qui se révèle à moi. J’enlève ta chemise et ne te laisse pas le temps de dire ou faire quoi que ce soit. Comme si une fureur s’était emparée de moi.

Tu glisses tes mains dans mes cheveux à mesure que je descends vers ton entrejambe.

Tu caresses mes cheveux et les empoignent. Baissant ma tête doucement vers ton membre que je sens pointer sous ton pantalon. Mes mains sont déjà à sa recherche en dégrafant ton pantalon. Je le baisse ainsi que tes dessous et observe alléchée ton sexe érigé qui m’invite à le célébrer.

D’une main je l’empoigne et le caresse lentement. Ma langue commence sa visite et glisse sur toute la surface. Ma bouche s’ouvre pour t’engloutir. Je vais et viens doucement, tranquillement, te caressant en même temps et t’empoignant pour ressentir la force et la dureté de ton membre. Ma langue joue avec ton gland, aspirant, suçant. Ma salive abondante se répand sur ta verge. Je te masturbe plus énergiquement. Et ma langue va titiller tes boules lisses. Mes lèvres les aspirent, l'une puis l’autre. Ma langue tournoie, joue avec elles. Je continue mon exploration et lèche l’entre deux. Ma langue cherche l’ouverture la moins lisse. Elle tourne autour et l’humidifie. Je remonte à la source. Ton membre a doublé et est de plus en plus dur. Je sens la mouille suinter entre mes jambes. Je recommence à te sucer et t’avaler. Tu tapes contre ma gorge. A m’étouffer.

Je n’en peux plus, je te veux. J’entends tes râles, tes mots plus crus qui disent aimer comme je te prends. Ma gourmandise t’étonne, mais tu t’en réjouis.

N’en pouvant plus devant ta verge offerte et brûlante. Je me relève. 

Tu vas enfin pouvoir me prendre comme tu le souhaites. Tu dégrafes rapidement mes bas et fais glisser le string. Mon antre est dégoulinante, chaude,

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humide et ruisselante. Tu me pousses sur le lit et t’agenouilles au bord. Tu approches mon intimité au niveau de ta bouche et commence un ballet entre ta langue, tes lèvres et mes lèvres, mon clitoris qui s’ouvre tel un iris. Tu bois à ma source.

Je te hurle de venir, de me remplir. Tu introduis un doigt que je serre de tout mon désir. Un doigt ne suffit pas. Un deuxième, puis un troisième. Mon bassin se cambre et commence à bouger. Tu continues à me lécher. Excité par la vision que tu as de ma cambrure et mes mouvements sous les vas et viens de tes mains. 

Tu te relèves et je t’attrape, j’enchaîne mes jambes autour de toi. Je sens ton glaive glisser en moi. Je râle tel un animal. Tu t’installes sur le bord du lit et je viens sur toi. Ta bouche vient mordiller mes tétons qui ont durci. Ta langue joue avec mes aréoles, me faisant frémir. Nos deux corps balancent et basculent en cadence. Je m’accroche à toi et tes mains sur mes fesses se serrent. Elles m’empoignent et de petites fessées viennent s’ajouter à notre rythmique sensuelle. Je me resserre de plus en plus autour de toi. Je t’embrasse et mords tes lèvres. Nos langues s’aspirent. Nos salives se mélangent. Nos fluides s’intensifient. 

Je te sens arriver et ma jouissance est proche. Tu m’allonges sur le lit et nous commençons un 69. Je te prends en bouche jusqu’à m’étouffer, t’aspire, je veux goûter ton jus, le sentir couler en moi. Tu introduis ta langue au plus profond de mes entrailles. Tes doigts farfouillent en moi et je me cambre tellement c’est explosif. Je sens monter l’électricité en moi. C’est foudroyant. Tous mes sens sont en émoi. Je finis par me serrer tant que je t’emprisonne et ma jouissance éclate. La dureté et la grosseur de ton membre dans ma bouche me fait espérer ton liquide avec impatience. Quand tu finis par m’emplir, je goûte enfin à ton nectar. Je n’en perds pas une goute. Je lèche et avale et me rassasie de toi. 

Après tu ôtes ma guêpière et m’entraînes sous la douche… pour reprendre des forces, avant la prochaine tempête qui unira nos corps.      

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